o Il réalisa des expériences chimiques visant à prouver sa théorie. Mais ses expériences comportaient des éléments pouvant fausser les résultats, en donnant de faux positifs par exemple (l'expérience parraissait confirmer son hypothèse mais des éléments n'étaient pas fiables) . La chimie fondamentale ne lui permettant pas d'aboutir à des résultats fiables et ou à des preuves formelles, il se tourna vers un nouveau champs de recherche : la biologie numérique.
o Ses recherches aboutirent à une nouvelle théorie expliquant l'interaction entre l'organisation des molécules d'eau entre elles avec les molécules des substances actives. La transmission de l'information se ferait par des signaux électromagnétiques spécifiques, émis par les molécules actives. Les fréquences de ces signaux seraient comprises dans la gamme audible : entre 20Hz et 20KHz. Ils seraient “mémorisé” par l'eau et influenceraient sa structure. En effet les molécules d'eau sont dites polaires, car elles sont sensibles aux signaux électromagnétques. L'eau conserverait ainsi l'empreinte des molécules actives.
À ce jour aucune expérience n'a véritablement prouvé la théorie de la mémoire de l'eau. Ce fait scientifique, s'il était enfin avéré, donnerait à l'homéopathie toute la crédibilité scientifique dont elle manque, car elle pourrait permettre de prouver un véritable effet sur l'organisme.
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